À l’instar des spidermaps londoniennes, certaines représentations qui utilisent ces deux échelles de représentation font penser à une araignée (un petit corps et de grandes pattes).
Par extension, nous appellerons spidermap un plan sur lequel le pôle (ou le quartier ou la commune) représente le corps de l’araignée et dont le potentiel de déplacement matérialise les pattes.
La spidermap peut avoir différents objectifs :
Les spidermaps Latitude-Cartagène sont des représentations à deux échelles :
L’intérêt de ces deux échelles est d’obtenir un degré de détails permettant de choisir la bonne ligne. La spidermap apporte ainsi plus d’informations qu’un plan de quartier.
La spidermap permet ainsi d’optimiser la représentation de l’offre : elle donne une information complète et agréable à consulter.
La spidermap est une image sur laquelle les informations vont être sélectionnées : on va choisir de représenter ce qui est le plus intéressant, le plus pertinent, en fonction de l’objectif choisi. On se posera donc la question des thématiques à apporter sur le fond de plan : POI majeurs, nom des rues, etc.
On apportera ensuite une information plus détaillée en local (là où je me trouve) et une information principale en périphérie (potentiel accessible, correspondances avec les modes lourds, informations pour se repérer, accès aux pôles principaux – stade, CHU, etc.).
Sur une spidermap, il sera intéressant d’indiquer les correspondances possibles avec le réseau lourd (métro, tram, TER, BHNS…). Le réseau lourd a en effet la particularité d’offrir plus de fréquence et de permettre d’aller plus loin, plus rapidement.
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