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Latitude-Cartagène dans les yeux d’une stagiaire

28 février 2019

Aleksa, élève de troisième, est venue passer une semaine chez Latitude-Cartagène dans le cadre du stage d’observation prévu en fin de collège.

L’objectif de ce stage obligatoire est de découvrir un milieu professionnel, de se confronter aux réalités concrètes du travail et de préciser son projet d’orientation.

Voici, sans modification aucune, le rapport de stage rédigé par Aleksa sur son vécu de stagiaire chez Latitude-Cartagène.

RAPPORT DE STAGE

1. Remerciements

J’aimerais remercier l’ensemble des employés de Latitude-Cartagène pour leur accueil, leur gentillesse et le temps qu’ils ont consacré pour me montrer leur métier et répondre à mes questions.

J’aimerais remercier particulièrement :

  • Didier Ailloud, pour m’avoir acceptée au sein de son entreprise,
  • Thomas P, mon maître de stage, qui a organisé mon accueil,
  • Jérôme, pour m’avoir initiée à Illustrator et m’avoir appris les bases de la réalisation d’une carte numérique (les routes, les parcs…),
  • Valentine, pour ses explications détaillées sur la fabrication des cartes.

2. Introduction

Je cherchais un stage dans un domaine scientifique ou technique sans préférence particulière en ce qui concerne le domaine. Je connaissais Thomas P, qui travaille dans le développement web, et j’ai postulé dans son entreprise de cartographie. J’ai très rapidement eu une réponse positive après l’envoi de ma lettre de motivation.

3. Présentation de l’entreprise

3.1. Situation

Latitude-Cartagène est située dans le premier arrondissement de Lyon, dans un immeuble qui surplombe le jardin Croix Paquet. L’entreprise occupe tout le rez-de-chaussée.

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Localisation de Latitude-Cartagène, plan récupéré d’OpenStreetMap.org

3.2. Historique

Latitude-Cartagène est une société coopérative et participative (SCOP) créée il y a 30 ans et faisant principalement de la cartographie. Un des trois co-fondateurs (Didier Ailloud) est encore présent dans l’entreprise.

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30 ans d’histoire de Latitude-Cartagène

Le nom Latitude-Cartagène vient de :

  • Latitude : nom donné à la création de l’entreprise en 1988 et
  • Cartagène : entreprise achetée par Latitude en 1997.

L’entreprise s’est spécialisée dans la fabrication de cartes (numérique, 3D, papier), principalement pour les transports (l’orientation des utilisateurs) :

  • Transports en commun,
  • Cartes de randonnées,
  • Événements (comme la fête des Lumières), …

3.3. Le statut de SCOP

Latitude-Cartagène est une SCOP.

En pratique, les employés sont propriétaires de leur entreprise. Le fonctionnement est différent des entreprises traditionnelles, dirigées par une poignée de responsables (patrons, actionnaires, …). À Latitude-Cartagène, il y a des associés.

Une des tâches des associés est de définir le gérant. Pour le moment, il s’agit de Didier Ailloud, élu depuis 2004.

Les réunions mensuelles des associés permettent de définir les futures orientations de l’entreprise, comme par exemple l’achat de nouveaux locaux en fonction des bénéfices.

Tous les employés peuvent prétendre à devenir associés, mais cela passe également par un vote. J’ai détaillé dans les interviews comment chacun voit la SCOP.

3.4. Structure actuelle

Taille de l’entreprise

L’entreprise compte actuellement 20 personnes dont 12 ayant le statut d’associé.

Métiers

Les métiers de Latitude-Cartagène s’organisent autour de 4 pôles.

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Ces métiers servent à la réalisation de cartes sur support traditionnel et numérique.

Clients

Les clients de Latitude-Cartagène peuvent être classés en deux catégories :

  • Ceux qui souhaitent informer ou orienter leurs propres clients, principalement spécialisés dans le transport de personnes (SNCF, TCL, Keolis, STAS de Saint-Étienne Métropole, aéroport de Toulouse, Vélib’…).
  • Ceux qui souhaitent promouvoir un lieu ou un service (institutions – municipalités, entreprises événementielles, …).

Fournisseurs

Latitude-Cartagène a surtout des fournisseurs techniques. J’ai pu voir :

  • Les imprimeurs, pour les cartes traditionnelles,
  • Les Hébergeurs web, pour les sites et cartes numériques.

4. Observations et réalisations

4.1. La cartographie

J’ai pu observer, principalement avec Valentine, la construction d’une carte. Elle se décompose en plusieurs parties. La première est la couleur de fond (souvent gris), puis viennent les formes (bâtiments, rues, zones vertes, …). Sur cette base, les détails sont tracés (sous forme de traits, ronds, croix…) puis enfin le texte est ajouté.

La fabrication d’une carte se fait donc couche par couche. L’outil utilisé pendant la démonstration est Illustrator. La source des plans est OpenStreetMap. C’est un site de carte similaire à Google Maps mais les plans sont téléchargeables gratuitement (et légalement) et chaque bâtiment, route, feu, espace vert, lac y est dessiné avec toutes ses informations propres.

La création d’une carte prend plus ou moins deux semaines selon les différentes informations à transcrire. À Latitude-Cartagène, 7 personnes travaillent sur la cartographie.

Tous les lundis, une réunion de production est organisée entre les cartographes et les chargés de projets. Ils définissent et se répartissent les tâches à réaliser dans la semaine, en priorisant les travaux urgents et les nouvelles demandes des clients importants (par exemple TCL).

4.2. Échanges avec l’équipe

La société Latitude-Cartagène est une structure à taille humaine. De ce fait, j’ai eu la possibilité d’échanger avec pratiquement tout le monde. J’ai pu observer les activités de chacun et poser des questions.

Didier 

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Didier Ailloud est le directeur et gérant de l’entreprise (élu depuis 2004). Sa tâche est de coordonner le travail de chacun, de gérer la production, la comptabilité et les références commerciales. Il supervise ou réalise également les tâches administratives et est responsable juridique : il signe des contrats et pilote tout en cas de crise commerciale.

Cela fait 30 ans (1988) qu’il est dans l’entreprise qu’il a cofondée. Il a un DEA équivalent à un master 2 urbanisme. Latitude-Cartagène est sa première expérience professionnelle, où il a commencé comme urbaniste.

Pour lui, travailler dans une SCOP n’est pas simple mais correspond à des valeurs qu’il apprécie, qui rassemblent autour d’un travail réellement collectif. Ce n’est pas le cas dans une petite entreprise, où les employés sont portés par le chef.

L’ambiance au sein de l’entreprise est très bonne avec une forte cohésion et du respect envers chacun. L’avenir de l’entreprise est dans la croissance, avec l’objectif d’une embauche chaque année tout en maintenant les valeurs positives de Latitude-Cartagène.

Caroline

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Caroline est la comptable de Latitude-Cartagène depuis 15 ans. Ses tâches sont de payer les salariés, facturer les clients, gérer les locaux mais également faire un bilan de l’année.

Elle a fait un BTS comptabilité et a fini sa formation en passant 2,5 ans dans un cabinet comptable. Elle a ensuite passé 10 ans dans une grosse entreprise de pub avant de rejoindre Latitude-Cartagène.

Pour elle, une SCOP est centrée sur l’humain, avec des conditions de travail extraordinaires, des discussions et échanges fréquents, de l’aide. Elle a également son mot à dire sur l’entreprise et est autonome. L’ambiance est très bonne et selon elle, l’entreprise évoluera positivement tant qu’elle saura préserver les rapports humains.

Kevin

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Kevin est ingénieur en Système d’Information Géographique (SIG) depuis 5 ans. Sa tâche est de développer des programmes afin de faciliter la fabrication de masse de cartes au travers de la recherche.

Pour cela, il a fait une prépa scientifique puis une école d’ingénieur en informatique.

Pour lui, l’avantage d’une SCOP est que tout le monde est impliqué dans un travail commun avec la volonté de résoudre les problèmes ensemble. Une petite entreprise a un statut similaire à la SCOP, mais avec une hiérarchie. Dans une SCOP, tout le monde est au même niveau. L’ambiance dans l’entreprise est bonne. Selon lui, l’entreprise est en croissance, mais avec une visibilité limitée sur l’avenir et il y aura probablement des choix à faire au niveau du personnel, en limitant à terme les recrutements.

Amandine

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Amandine est une chargée d’affaire et travaille depuis 18 ans au sein de l’entreprise. Sa tâche est de faire de la prospection (identifier de nouveaux clients), faire des contrats commerciaux et suivre les contrats en cours. Les demandes qu’elle traite tournent à 90% autour des informations aux voyageurs.

Elle a fait des études universitaires avec une spécialisation en Géographie. À son arrivée dans l’entreprise, Amandine était cartographe puis a évolué pour devenir chargée d’affaires.

Elle voit la SCOP très positivement, comme une famille, même s’il peut parfois y avoir quelques tensions entre collègues. Elle pense que c’est assez similaire dans les petites entreprises. Pour elle, l’ambiance dans l’entreprise est conviviale et il est facile de s’exprimer et échanger. L’entreprise évolue positivement avec beaucoup de nouveautés à venir.

Karine

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Karine est la directrice artistique de l’entreprise depuis 18 mois et sa tâche au sein de l’entreprise est de créer des chartes graphiques autour des cartes (pictographie, couleurs, …).

Elle a fait comme études un bac +3 : un BTS en communication visuelle suivi d’une 3ème année en alternance dans une boite de créa. Elle est passée par 2 agences de communication et a été 2 fois indépendante avant de rejoindre Latitude-Cartagène. À son arrivée dans l’entreprise, elle était chargée de projets avant de devenir directrice artistique.

La SCOP permet de faire avancer tout le monde sur un projet commun, avec des collaborations, du partage et de l’équité. Pour elle, on retrouve le même esprit solidaire dans une petite entreprise, mais avec le contrôle de patrons. Elle trouve que l’ambiance dans l’entreprise est bonne, et chacun est responsabilisé, avec un fonctionnement « donnant donnant ». Elle peut faire des heures sup si l’entreprise en a besoin mais pourra partir plus tôt un autre jour en cas de contrainte personnelle. Pour elle, l’entreprise s’inscrit dans la durée, la stabilité avec une bonne pérennité et une petite croissance du nombre d’employés.

Thomas P

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Thomas travaille dans le développement web depuis septembre 2016. Ses tâches sont de développer les services informatiques de la société et l’administration système.

Il est titulaire d’un DUT informatique et d’une licence 3 en informatique. Sur son périmètre, il travaille avec 2 autres personnes, un autre développeur web (Thomas C.) et une cheffe de projets.

Avant de venir à Latitude-Cartagène, il a travaillé quelques semaines à Orange, qui ne lui convenait pas. Pour lui, travailler dans une SCOP est mieux que de travailler dans une grande entreprise car il y a plus de facilité de communication : c’est plus comme une famille (de même que dans des structures classiques). L’ambiance de l’entreprise est bonne et il pense qu’elle avancera en se maintenant à jour et en innovant.

Valentine

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Valentine est cartographe géomaticienne (papier-numérique) depuis 2 ans et 3 mois. Sa tâche au sein de l’entreprise est de dessiner des cartes sur ordinateur. Ils sont 7 sur le domaine de la cartographie.

Pour elle, le fait de travailler dans une SCOP est plus humain. L’activité varie beaucoup : des fois ils sont submergés de travail et d’autres fois pas du tout. Elle trouve l’ambiance de l’entreprise très bonne. Pour elle, l’entreprise évoluera avec l’évolution de la cartographie numérique.

Christophe

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Christophe est un chargé d’affaires avec 18 ans d’expérience. Il a fait des études de géographie bac +5 avec une spécialisation en cartographie en master 2.

Il est rentré dans l’entreprise en tant qu’assistant puis apprenti avant d’être cartographe puis chargé de projets.

Pour lui, le fait de travailler dans une SCOP est positif car il y a un vrai travail de groupe, des points forts mais parfois quelques freins. Les entreprises traditionnelles lui semblent moins intéressantes. L’ambiance dans l’entreprise est positive même s’il y a parfois des petits ou gros problèmes. Il y a toujours une grande équité. Selon lui l’avenir et l’évolution de l’entreprise dépendent des produits numériques.

Sébastien

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Sébastien est chargé de projets en cartographie. Sa tâche au sein de l’entreprise est la production de cartes papier, avec 6 autres personnes. Cela fait 3 ans qu’il est dans l’entreprise.

Après des études en géographie (Master de Géographie avec une spécialisation en transport), il a d’abord passé 2,5 ans dans une association d’aide à la réinsertion des personnes en difficulté avant de rejoindre Latitude-Cartagène.

Pour lui, la structure d’une SCOP permet aux personnes d’être réellement investies dans leur travail, sans personne qui commande, à l’opposé d’une petite entreprise, où le patron décide de tout. L’ambiance est bonne avec du partage très fréquent, une bonne entente, des échanges sur les rendus : une nécessité dans l’entreprise qui lui permet avancer.

Joëlle

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Joëlle est une graphiste 3D avec 30 ans d’expérience. Elle se charge de la mise en 3D de différents plans (comme par exemple un plan d’arrêt de bus), afin d’avoir différentes vues et pourvoir précisément positionner les objets.

Après un BAC économique, elle a fait une formation de « peintre en lettre » (ancien métier qui consistait à peindre sur des vitrines des logos ou des textes) et les beaux-arts. Elle est passée par une agence de pub avant de rejoindre Latitude-Cartagène. Elle a commencé comme graphiste avant de passer à la 3D.

Pour elle, l’avantage de travailler dans une SCOP est d’être son propre patron, ce qui donne une autre dimension au travail. Les petites entreprises fonctionnent de façon différente, avec des employés portés par un chef. L’ambiance dans l’entreprise est très bonne. Elle trouve que l’entreprise a un joli avenir, qu’elle est en constante évolution et de plus en plus reconnue et demandée.

Véronique

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Véronique est une cheffe de projets géomatique digitale. Sa tâche au sein de l’entreprise est de faire l’interface entre le client et les développeurs et de diffuser les différentes informations.

Véronique a réalisé son stage de fin d’études à Latitude-Cartagène en 2008 et est finalement restée. Elle a fait un DUT en informatique statistique (BAC+2) puis un master en système d’information géographique (SIG).

Travailler dans une SCOP est très intéressant car cela permet de participer aux décisions de l’entreprise, sans pression d’actionnaires (elle pense également la même chose des petites entreprises). L’ambiance au sein de l’entreprise est plutôt bonne. Selon Véronique, l’avenir de l’entreprise est de continuer à se développer et gagner en reconnaissance dans leur métier.

4.3. Réalisations personnelles

J’ai pu travailler avec Jérôme et Valentine sur la réalisation de cartes. Le travail a été réalisé avec Adobe Illustrator sous Mac.

Le premier jour du stage, après m’avoir expliqué le fonctionnement d’Illustrator, Jérôme m’a laissé travailler sur un plan qu’il réalise pour un office de tourisme. Ma tâche a consisté à placer les parkings. Comme il devait apporter d’autres modifications sur la carte, je l’ai assisté en suivant sa check-list de travail (en surlignant les tâches réalisées et en indiquant les tâches restantes).

Les jours suivants, j’ai pu faire ma propre carte du 9e arrondissement sur un iMac mis à ma disposition pour cette réalisation. Avec Illustrator et un fond de carte assemblé à partir de captures de Google Maps (image), j’ai pu dessiner les routes, les parcs et la Saône. Jérôme intervenait ponctuellement lorsque je rencontrais des difficultés avec l’outil.

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Carte réalisée avec Jérôme pendant le stage (Lyon 9)

Le dernier jour, j’ai pu travailler avec Valentine sur une autre carte et d’autres opérations. En partant d’une carte du 9e arrondissement issue d’OpenStreetMap (vectorielle), j’ai réalisé une modification des couleurs, la suppression des textes qui surchargeaient le plan et le déplacement des informations importantes qui se chevauchaient.

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Une partie de la carte réalisée avec Valentine pendant le stage (Lyon 9)

5. Vécu du stage

Cela n’a pas été facile pour moi d’arriver dans une entreprise où je ne connaissais personne (à part Thomas P). Toutes les personnes que j’ai rencontrées étaient bienveillantes et contentes de me parler de leur activité. Néanmoins, ce n’était pas simple de tutoyer tout le monde (ce qui est de rigueur dans l’entreprise).

J’avais préparé un questionnaire pour des entretiens et toutes les personnes se sont prêtées au jeu. J’ai pu alterner ces interviews avec des démonstrations pratiques et la rédaction de mon rapport. Je ne savais pas comment un stage d’observation se déroulait et j’avais peur d’avoir des temps morts et de m’ennuyer, mais cela n’a pas été le cas.

J’ai pu découvrir des gens passionnés par leur travail, qui s’accomplissent dans leur entreprise. Si à première vue, certains font toujours la même chose (la réalisation de cartes), leur travail est en fait très varié et peut complètement changer d’un client à l’autre.

Je me suis rendu compte de l’importance des fonctions de support, des métiers que je ne connaissais pas vraiment : La moitié des personnes de l’entreprise réalise des cartes, l’autre moitié aide ces personnes (commerce, publicité, comptabilité, …). Toutes ces personnes sont nécessaires au succès de l’entreprise.

C’était aussi très intéressant de voir une SCOP, une entreprise à taille humaine. Je ne sais pas ce qu’aurait donné de travailler dans une entreprise plus grosse où le travail aurait peut-être été déshumanisé.

Le rythme de la semaine a également été très différent, très loin du rythme scolaire. Si au collège, la journée est découpée en heures fixes, à Latitude-Cartagène, les personnes ont un objectif sur plusieurs semaines ou plusieurs mois et adaptent leurs horaires à leurs tâches.

6. Conclusion

Je pense avoir fait mon stage dans une structure très particulière. Je ne sais pas si c’est réellement représentatif du monde du travail. L’entreprise est centrée sur l’humain, ce qui donne des conditions de travail fantastiques.

Ma représentation du monde du travail a évolué grâce aux personnes que j’ai rencontrées. J’ai pu voir une grande variété de métiers dans une petite structure. Même dans un travail ultraspécialisé, les personnes ne sont pas condamnées à faire toujours des tâches répétitives et il est également possible de progresser ou de se réorienter dans sa carrière.

Si, à l’issue de ce stage, je ne sais toujours pas précisément ce que je souhaite faire plus tard, cette expérience a renforcé ma volonté de faire des études techniques ou scientifiques pour aller vers ce type d’emploi et d’entreprise.

 

Aleksa

 

Un grand merci à Aleksa et à son collège d’avoir accepté la publication de ce rapport de stage très intéressant !

Pour en découvrir davantage sur Latitude-Cartagène et son équipe, n’hésitez pas à consulter la section « Qui sommes-nous » de notre site internet 🙂

 

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